Trails version US (7): YAKIMA SKYLINE RIM

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Trail version US (6): SUN MOUNTAIN RACE

Waw… Ce que j’adore par dessus tout, c’est ce demi-tour en haut d’une butte, sans contrôleur, sans plot, sans balise, sans rien à pointer… Inimaginable à l’heure actuelle dans nos pelotons européens :-(((

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Trails version US (5): ANGEL STAIRCASE

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Tout en lumières…

Avec Laurent, nous avions vu ce sport publicitaire lors d’un Festival de films de montagne. Tout simplement superbe, voici venu le moment de vous le partager 😉

Moi je veux une tenue comme ça pour mes prochains objectifs…

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Essai de terrain : Sac de trail PB Adventure Vest 2.0

Sac de trail PB Adventure Vest 2.0 de chez Ultimate Direction

Trailstore m’a prêté ce sac qui m’intéressait sur plusieurs aspects : ses multiples rangements, son volume et son portage façon veste. Alors tout d’abord, merci Trailstore !

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PB ADVENTURE 2.0

 

Je n’ai pas eu l’occasion d’essayer les Salomon qui rentrent dans cette catégorie de portage mais le nombre de poches réduit ne m’attirait pas.

Tout d’abord, j’ai des critères très précis pour choisir mon sac, critères que j’ai pu affiner au cours de ma première année de pratique de trail (sorties Off ou courses d’une durée de 6 à 9h).
Ces critères sont personnels et les vôtres peuvent différer et vous faire préférer d’autres types de portages.

Mes critères concernent l’ergonomie et le confort de portage, surtout si les bidons se portent devant, les possibilités nombreuses de rangement (petites poches et grands compartiments) selon les choses que je veux emmener, surtout pour quelques heures de course.
Je n’aime pas les poches à eau : j’aime voir où j’en suis de l’utilisation de mes réserves, disposer d’eau ET de solution énergétique si besoin et refaire le plein facilement. Donc pour moi, c’est bidon !

Mon sac idéal ou presque parfait aurait donc :

– 1 poche accessible dont la taille doit permettre de glisser avec facilité mon iPhone 5s (c’est mon appareil photo, MON accessoire indispensable en sortie ou en course).
– 1 poche pour mes lunettes (soit de vues, soit de soleil)
– 1 poche pour le stockage de l’alimentation solide (3-4 barres ou pâtes de fruits)
-1 poche pour les clés
– 1 compartiment pour couverture de survie, bandeau, buff, gants, bonnet (selon la saison et la météo), portefeuille
– 1 compartiment pour la veste imper/respirante et/ou micro polaire,
– 1 attache-bâtons,
– 1 poche disponible ou un filet pour servir de poubelle pour les emballage,
– 1 système de portage de bidons ou de flasks souples facile d’accès et non gênant en courant et confortable vis-à-vis de ma poitrine 🙂

et si la couleur pouvait me plaire ce serait top (bah quoi ?)

Et bien je l’ai trouvé ce sac pour quasiment tous mes critères.

Le sac d’Ultimate Direction PB Adventure Vest 2.0 est le plus grand de la gamme avec ses 11 litres. Des cordons de compression permettent de moduler son volume et lorsqu’il est peu rempli il reste bien plaqué. Il s’enfile comme une veste et est en cela très confortable. Je ne le « sens » vraiment pas et encore moins en courant, on a vraiment l’impression de porter un vêtement.
PB vient de Peter Baldwin un ultra traileur qui est du genre à traverser les pays en courant – il a participé à la conception de ce sac dont c’est la 2ème version : d’où le volume et les nombreux rangements de ce sac pour aller loin, très loin.

Je tiens à préciser que j’ai choisi la taille M/L qui pourrait être un peu trop grande pour moi mais non. Elle m’offre un avantage primordial : les porte-bidons se retrouvent un peu plus bas sous ma poitrine et ça, c’est top confort.

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PB ADEVENTURE 2 VAL MENTE

En fait, j’ai un raidlight Olmo 12 depuis un an : même volume et capacité de rangement, très nombreuses poches mais …
Le port des bidons se fait SUR la poitrine : je trouve cela inconfortable, cela fait un ensemble plus encombrant et comme il se porte bien plus haut à cause du système de pipettes des bidons, il faut le régler soigneusement avec la sangle de poitrine pour ne pas se prendre les pipettes dans le cou ou la figure? Et le réglage reste délicat.

Une solution que j’avais fini par adopter est le remplacement des gros bidons à pipette de 75 cl chacun par des flasks de 500ml. Je perdais donc en volume (-0,5 litre). En penchant la tête, on peut alors têter l’embout de la flask 😀

Mais l’olmo présentait encore pour moi un inconvénient : il se porte plutôt haut dans le dos et … j’aime pas ça. Et finalement seules deux poches restent accessibles en courant et celles-ci sont situées au-dessus des porte-bidons. Et comme elles sont placées très haut, elles arrivent presque sur la courbe de l’épaule, ce qui n’est pas pratique pour y ranger mon précieux : mon iPhone !

Je l’ai délaissé pour me tourner vers l’enduro 13 de chez The North Face : près du corps mais sans l’effet confortable veste, deux grands poches accessibles sur la ceinture ventrale et deux porte-bidons derrière disposés à 45° faciles d’accès.
Il me donne chaud au dos et le nombre de poches externe est un peu trop juste. Le système d’accrochage par velcro sur la poitrine est bien pensé même pour une fille ^^. Le volume de ce sac malgré sa dénomination n’est que de 8 litres.

Mais revenons à l’Ultimate Direction PB 11 litres.
Je l’ai testé pour l’instant sur deux sorties longues de 3h (sur la Dune du Pyla notre montagne girondine) et lors d’une sortie trail avec Sébastien Spehler (ça en jette non ?) dans les Vosges Alsaciennes (20 km 800m de D+). Je vais également l’emmener sur le Trail Hivernal du Sancy.

Les accès aux poches au-dessus des porte-bidons sont aisés, elles sont situées sur les bretelles, en dessous de la clavicule : mon iphone 5s y rentre et en sort parfaitement (bon faut pas que j’achète le 6 encore moins le 6+). Les porte-bidons ont chacun une poche mesh (qui me sert de poubelle pour les emballages) et enfin sur les côtés du sac je dispose de 2 grandes poches qui me permettent de stocker clés, kleenex, barres… accessibles sans se contorsionner.

Je trouve que la transpiration reste très modérée au niveau du dos et le tissu spécifique reste très doux et confortable. Le sac dispose de 3 accès sur le dos : une poche indépendante (idéale pour mes gants, bonnet, bandeau) et puis deux accès pour la poche centrale constituée de deux compartiments. Comme l’olmo 12 et l’enduro 13, l’UD peut contenir une poche à eau, option que je n’utilise pas. Le volume global du sac UD est de 11 litres.
J’ai apprécié également l’élastique sur le dos du sac (que l’on retrouve sur des sacs de rando) pour y glisser rapidement mon coupe-vent sans ouvrir le sac .
Tout un système de réglage et de compression vous permettent de parfaitement ajuster le sac sur votre corps qui ne fait plus qu’un avec vous.

J’ai apprécié que les deux bidons soient identifiables par des impressions différentes car les flacons sont opaques : dans l’un je mets ma boisson énergétique, dans l’autre l’eau.

pb-adventure-2-bidons

Par contre, il a fallu qu’on me montre pour utiliser la tétine qui sert d’embout au bidon sinon pas une goutte ne sort. J’ai trouvé une petite vidéo sur youtube qui vous montre l’astuce 🙂

 

Le porte-bidon est en tissu avec un arceau léger (support moins rigide que sur l’enduro 13) : les bidons sortent et se rangent en un seul geste et d’une seule main. Je n’ai pas testé avec des flasks mais il faudrait que je penche davantage la tête que sur l’olmo 12 (vous suivez avec tous ces 11, 12 et 13 ???).

Le sac dispose aussi de poches presque secrètes pour y glisser une carte ou un ticket (le coupon bière en trail ?) et l’on peut même rajouter une flask voire deux dans un espace sur le côté du sac (voir photo ci-dessous) ce qui porterait le volume à 2,6 litres (chaque bidon fourni faisant 600 ml).

PB ADVENTURE 2.0 – poches

Je n’ai pas testé le système de portage de bâtons vu qu’actuellement je m’entraîne sans bâton. Mais n’oublions pas que ce sac est aussi fait pour les voyages au long court (enfin façon MUL* quand même).

Enfin, dernier point positif : j’adore les couleurs – je suis très (fleur) bleu(e).

Quelques petits inconvénients pratiques toutefois, au bout d’un mois, les sérigraphies des bidons s’effacent (sans doute le fait de les mettre et de les enlever du support), c’est dommage et il manque un petit mousqueton comme j’en ai sur le Raidlight et le The North Face pour accrocher les clés. Une petite poche au moins filet et fermée aurait été sympa également dans le compartiment principal pour éviter que les petits objets se baladent.

En définitive, ce sac Ultimate Direction PB Adventure Vest 2.0 est très bien conçu, on voit qu’il est le produit d’essais sur le terrain et qu’il a bénéficié de toutes l’expérience de Peter Baldwin.
En ce qui concerne la gamme de prix, nous sommes dans le haut de la fourchette des prix pour les sacs de trails avec 140€ ce qui n’est tout de même pas donné. Pour rappel, l’olmo 12 de Raidlight est à 99€ et l’enduro 13 de TNF reste le moins cher (mais avec moins de fonctionnalités et de volume donc pas la même gamme) à 80€.

C’est donc un investissement important, je ne peux juger de sa durabilité sur un mois mais pour l’instant aucun problème (hors sérigraphie) n’est apparu. En tous cas la première version du sac avait déjà reçu pas mal d’opinons favorables.
Il pourrait ainsi remplacer mes deux sacs car grâce au système de compression ce sac peut très bien être utilisé sur des trails de qq heures que sur des ultras ou des courses à étapes sans problème (bon je n’en suis pas là non plus ^^).

N’hésitez pas à me poser vos questions et si vous voulez que j’approfondisse certains aspects.

*MUL (Marche Ultra Légère)

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Sur le chemin de Sylvain Bazin

sylvain-bazin

Ca y est, je suis arrivé au bout du chemin de St Jacques de Compostelle…ah non excusez moi je m’emporte, je suis seulement arrivé au bout du récit de Sylvain Bazin et de sa longue marche sur les traces des pèlerins.

Grâce à lui j’ai moi aussi l’impression d’avoir réalisé cette aventure, d’avoir été au bout de ce projet. C’est là que réside la force de cet ouvrage.

Durant les semaines où j’ai lu ce livre, chaque jour était une étape. Chaque jour il me tardait de retrouver son histoire et savoir ce qu’il m’attendait de la prochaine journée. Je me suis laissé totalement embarquer. J’ai eu la sensation d’y être, de vivre les mêmes événements car Sylvain Bazin, en plus du talent pour courir et marcher, possède celui de l’écriture. Sa plume est légère et poétique. Cet amoureux de la nature et de la vie sait très bien communiquer ses sentiments et partager tout ce qu’il a vécu sur ce chemin : les rencontres, les paysages. Même la pluie aurait du charme dans les mots de ce monsieur.

J’ai bien compris que chaque portion de chemin n’était pas aussi riche en panorama mais d’après ses descriptions des trésors semblent se trouver à portée de main (ou de pied !), un environnement où peut encore résider la quiétude.

Je n’ai pas perçu de quête spirituel dans son projet mais je pense que Sylvain a trouvé des réponses à des questions existentielles qu’il avait embarquées dans son paquetage. Sans être croyant le chemin de St Jacques de Compostelle reste tout de même un beau voyage initiatique et la marche (ou la course) longue distance est l’occasion de se livrer à un profond recueillement. C’est ce que j’apprécie aussi dans le trail ; la quête intérieure qui aide à résoudre des problèmes ou tout au moins à les relativiser.

Un extrait pour vous inviter à aller plus loin :

« « si tu ne te sens pas adapté à la société, ne te change pas. Change la société. »(E. Buhl) Certes, je n’ai pas cette prétention. Mais en marchant ainsi sur les grands chemins du monde, sur des parcours marqués aussi de spiritualité, j’espère aussi donner un aperçu de ce dont je rêve pour le monde et d’une vie plus proche de la nature et de son mouvement. »

Pour commander le livre, voici le lien :

Pèlerin Express, Sylvain Bazin, Outdoor éditions

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Test du Moutain Runner 12 L de Grivel

Retour de Charly et Lionel (à la caméra) sur le Mountain Runner 12 litres de Grivel.

En résumé super sac par contre à déconseillé pour ceux qui veulent mettre une poche à eau car l’accès n’est pas facile.

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3 Dossards à gagner pour Hostens Trail

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Hostens Trail est un trail sur 2 jours (24 et 25 janvier)  avec une épreuve de nuit (8 ou 11 km) et le dimanche matin 10 ou 18 km. Vous pouvez courir une de ces épreuves ou bien combiner une épreuve de nuit et une épreuve de jour. Bref tout le monde y trouve son compte.

Avec plus de 500 participants les deux dernières années, cette course propose un peu plus qu’une course classique grâce à la magie d’un trail nocturne.

En partenariat avec les organisateurs, nous vous offrons 3 dossards mais il va falloir retrouver le single ! Pour ça, il faut trouver 2 infos (réponse en message privé) ou par mail contact[@]trailstore.fr :

1 – A quelle heure aura lieu le départ du 12 km nocturne du samedi  ?
C’est par là : HOSTENS TRAIL

2 – Elle éclaire à 180 lumens pendant 7 heures
C’est par là : TRAILSTORE

Lien vers le bulletin d’inscription avec les infos pratiques

J’espère qu’on s’y retrouvera

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Comment choisir ses lunettes de trail ?

Dans le cadre de notre partenariat avec outdoorview.fr (opticien spécialiste des lunettes pour l’outdoor), nous vous proposons une déclinaison des verres disponibles chez Julbo. Thibault Randoin nous livre son analyse de spécialiste pour notre pratique

Le verre ZEBRA :

Le verre Zebra est à mon sens LE verre polyvalent de chez Julbo.
C’est un verre photochromique dont la teinte de base est assez claire pour vous permettre d’évoluer dans une ambiance lumineuse assez faible comme un ciel voilé ou une partie en sous bois et qui va se teinter jusqu’à une intensité assez forte qui va vous permettre de ne pas être ébloui même par de fort ensoleillement.
Je vous le conseil donc pour le VTT et le Trail en journée, quand il fait plutôt beau ou légèrement nuageux.
Je ne vous le conseille pas pour la montagne ou la mer car il n’est pas polarisant, préférez plutôt les  verres cameleon ou octopus dans ces conditions.

Groovy Zebra 

Race Zebra

Tracks Zebra

Stony

Le verre ZEBRA LIGHT :

Le verre Zebra light est un verres assez clair qui correspond très bien au faibles luminosités comme la fin de soirée, le petit matin et surtout les temps maussades et gris que l’on rencontre surtout en hiver.
Comme il est photochromique, il va se teinter en fonction de la lumière et va réagir assez vite, toutefois il n’atteindra jamais une intensité très importante.
Bref je vous le conseil pour toutes les activités ou la lumière est  faible et changeante ainsi qu’en sous bois, notamment en vtt et en trail.
Je vous le déconseille pour la forte luminosité comme les étendues sans ombre, les déserts, les glaciers.

Le verre CAMELEON :

Le verre cameleon fait partie des verres haut de gamme chez julbo. Pourquoi? Simplement parce qu’il combine plusieurs éléments important dont le photochromique et le polarisant.
Concernant le photochromique, la teinte de base est de catégorie 2 et de couleur brun, il se foncera jusqu’à une catégorie 4, le maximum qui existe.
Grâce a son filtre polarisant, cela en fait un verre idéal pour la montagne, le désert et le sport outdoor en condition de moyenne à forte intensité lumineuse, d’autant que la couleur brun vous donnera une vision du relief parfaite!
Bref, je le conseil pour la montagne en général (ski, alpinisme…), trail et vtt quand il fait beau, mais aussi en sport aérien comme le parapente, le delta et autres…

 

Le Verre OCTOPUS :

Le verre octopus a été developpé par julbo pour les sports d’eau. Ainsi il combine trois particularités qui sont le traitement photochromique, le polarisant, et le traitement hydrophobe.
Le photochromique fera passer l’intensité de teinte de votre verre d’une categorie 2 à 4, de quoi le porter de l’aube au crépuscule en passant par le moment ou le soleil est le plus haut dans le ciel.
Le traitement polarisant vous enlèvera tout les reflets de la surface de l’eau qui vous éblouisse et l’hydrophobe vous évitera d’avoir des gouttes dans le champs de vision!
Bref je le conseil pour tout les sports d’eau évidemment, reste à choisir la monture en fonction de votre sport!

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Trails version US (4): DECEPTION PASS

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