Demain c’est notre grande première de ce que nous avons baptisé les Convivial’Tests de Trailstore. Et cette première édition aura lieu à Camarsac, en prélude à la nuit des princes noirs. Cette superbe épreuve nocturne en duo…
Au menu, pas mal de choix, avec des chaussures, des sacs à dos, ceintures et de l’alimentation.
Les marques présentées seront : Led lenser, Scott running, Ultimate Direction, Ultraspire et LA marque mondiale à l’initiative de la nutrition sportive, Squeezy
La participation est gratuite alors n’hésitez pas à mentionner votre participation et à faire circuler l’évènement…
Chaque sportif soucieux de son bien être et de ses performances est à la recherche d’une diététique sportive de grande qualité.
Elle doit fournir un apport glucidique et une hydratation optimale. Facilité d’utilisation, assimilation rapide et parfaite digestibilité sont les clefs d’une bonne nutrition.
C’est en créant dès 1980 le 1er gel énergétique du marché que SQUEEZY révolutionne la diététique sportive. Positionné comme véritable référence, SQUEEZY développe des produits novateurs permettant de répondre aux exigences d’usage de chacun.
Maltodextrine:
La gamme SQUEEZY est principalement à base de maltodextrine qui est le sucre des sports d’endurance par excellence. SQUEEZY assure un apport d’énergie constant et prolongé pour les efforts longue durée. L’association avec du fructose ou du glucose a pour effet d’apporter de l’énergie rapide et de l’énergie longue durée et régulière. Il est à noter que la majorité des gels du marché sont exclusivement à base de sirop de glucose. Ce qui génère des pics d’insuline qui sont néfastes à une bonne pratique sportive et qui n’apportent pas une énergie longue durée.
Produits naturels:
La réputation de SQUEEZY est basée sur la parfaite digestibilité des produits car SQUEEZY utilise des produits naturels au pH neutre et sans ajouts superflus ce qui évite des troubles de l’organisme. Les arômes naturels sont peu prononcés afin d’éviter tout écoeurement après plusieurs heures d’utilisation. Les produits SQUEEZY ne contiennent pas d’aspartame et l’ensemble des produits sont sans lactose et sans gluten!!!
Cet article de présentation lance une nouvelle série d’articles qui seront destinés à vous présenter l’ensemble de la gamme SQUEEZY dont nous disposons. C’est d’ailleurs cette même gamme que vous pourrez goûter à l’occasion de notre premier Convivial’Test de Camarsac, ce samedi 18 octobre dès 15h00 au château de Camarsac…
Tout a commencé par une idée folle : concentrer de l’énergie dans de petits sacs en plastique. Cette invention simple a été nommée SQUEEZY. C’était en 1980…
Ce concept a été copié plusieurs fois et est devenu un best-seller dans le marché de détail sportif. À la fin des années 80 le SQUEEZY a été développé comme le premier gel d’énergie du monde d’une équipe de recherche menée par le Professeur Timothy Noakes en Afrique du Sud.
Roger Milenk a découvert le produit précédemment inconnu à l’Ironman de Roth et l’a apporté avec une formulation légèrement optimisée sur le marché européen.
TOUS LES BESOINS DU CORPS, NI PLUS, NI MOINS!
Grâce à sa haute fonctionnalité et simplicité le GEL D’ÉNERGIE À PRESSER est devenu plus populaire parmi les athlètes d’endurance. En raison de l’utilisation d’ingrédients seulement nécessaires (des glucides et des minéraux), le gel était et est toujours très digestible et unique. En outre les gels sont sans gluten, lactose et sucres artificiels.
QUAND L’INNOVATION DEVIENT TRADITION!
Le nom de produit SQUEEZY est devenu la marque SQUEEZY et est apparu avec des produits plus novateurs:
– la première boule de gomme d’énergie du monde avec maltodextrin,
– le premier gel d’énergie salée du monde à la tomate
QUALITÉ – FAIT EN ALLEMAGNE!
Après le changement de logo et du design en 2009, la production des produits a été complètement localisée en Allemagne et a ainsi garanti les normes de grande qualité pendant les prochaines années. Le SQUEEZYest maintenant consommé dans plus de 27 pays dans le monde entier.
L’AMELIORATION PAR VOUS-MÊME.
Une jeune équipe, des partenaires forts et confiants et des athlètes dans le monde entier et la passion pour créer de nouveaux produits. Les produits sont plus fonctionnels et plus sains. Pour la nutrition, ce sont les motivations et la base de notre travail quotidien.
Le mois d’octobre sonne souvent la fin de la saison estivale de votre activité favorite. Que ce soit à La Réunion, aux Templiers ou aux Hospitaliers, force est de constater que la fin de la saison dite régulière est très proche. Le changement d’heure, la neige et les sorties à la lueur de la frontale n’ont jamais été aussi proches cette année.
Une période peu joyeuse pour beaucoup mais qui est très importante afin de passer l’hiver sereinement pour être plus fort au printemps. Alors, que faites-vous durant cette période? »
Novembre peut être un bon mois pour se reposer ou faire d’autres choses. Mais après, quelles sont vos habitudes???
Si d’un point de vue personnel, je pense qu’il soit bon de faire un break et de varier ses activités (surtout si l’on sort de Templiers, d’un GRR ou d’une année surchargée) avec de la natation ou du VTT, les possibilités pour courir cet hiver seront de plus en plus nombreuses…
En effet, au delà du toujours plus long et toujours plus haut, il y a également cette tendance des organisateurs à toujours plus d’épreuves. Des épreuves variées, différentes et ludiques. Je pense notamment à tous ces trails blancs nés ces deux trois dernières années. Alors si vous êtes en montagne, génial, les activités parallèles ne manquent pas si vous voulez être au top durant votre saison 2015: trail blanc, ski de rando, ski de fond, courses de raquettes…
Mais si vous êtes dans le nord avec souvent, la pluie comme compagne d’entraînement, c’est nettement plus compliqué!
De mon côté, le choix est vite fait et le trail est carrément mis de côté jusqu’en mars. A la place, vive les cross!!! J’ai toujours adoré pratiquer les labourés. Et les objectifs sont simples: gagner en vitesse, vélocité et bien entendu, en ch*** 😉
En ce qui concerne les entraînements, c’est donc course et rouleau à l’abri de la pluie, au fond du garage 🙁
Et vous, quelles sont vos politiques hivernales? Plutôt Saintélyon et autres trails? Plutôt courses sur route? Cross? Neige?
Le débat est lancé alors n’hésitez pas à débattre et partager sur votre expérience personnelle…
Ce dimanche 05 octobre, nous étions présents, pour notre première collaboration dans la vie réelle, au trail de Garonne organisé par l’A.C. Réolais.
Au programme, une très belle journée de partage, d’échanges et de visites sur notre tout nouveau stand aux couleurs de Trailstore. Même Jean-Pierre (le mannequin) était sur son 31 avec sa tenue Waa, son short Instinct et ses bâtons Camp.
Vous avez été un peu plus de 140 à profiter des messages humoristiques placés tout le long des tracés de 8 et 14km. Mention spéciale à Laurent, le patron 😉 qui se classe 6em au scratch et 1er V1…
Mentionnons également que notre prochaine présence se fera le 18 octobre au château de Camarsac, à l’occasion de la nuit du prince noir.
Souvenez-vous, il y a quelques temps, nous avions publié une ITW complètement décalée du trailer écrivain ou écrivain trailer, Alain Bustin. Alors ça y est, ses romans (Courir un autre regard et La course de lumière) sont arrivés dans nos bureaux!
Ils sont désormais prêts à se retrouver sur vos tables de nuit pour combler vos insomnies nocturnes ou tout simplement pour vous accompagner dans vos transports lors de déplacements vers une course, ou votre lieu de travail… Voyages et partages assurés! En tant que coureurs, je peux vous assurer que ces romans sont à lire…
» Sacré ALBERT,
Lors de la conférence de chez TRAKKS à Bruxelles vous m’aviez conseillé de découvrir l’univers d’Albert par « courir un autre regard ». Quels émerveillements, pages après pages je suis rentré dans votre univers. Les mots brillent et semblent se mouvoir à travers les nouvelles, toutes aussi belles les unes que les autres, tel un coureur dans l’horizon. Que dire de l’association de ces mots avec des photos sublimes si ce n’est qu’elle voie juste et colle parfaitement avec la nouvelle. J’ai été enchanté du début à la fin, me retrouvant dans chaque histoire comme si j’avais le pouvoir de m’approprier vos mots. Pour tout cela, MERCI…
Je vais m’empresser de me procurer les deux premiers volets des aventures d’Albert. »
Gaetan
» Pouh pouh !!! Le souffle coupé et les yeux émerveillés ! Ce livre est un livre d’art mélangeant avec un tout grand professionnalisme l’écriture et la photographie. La photo attire l’œil, intrigue et nous propulse dans la lecture, pour notre plus grand bonheur. Une qualité d’écriture qui grandit à mon sens. Un partage profond de situations qui nous mènent dans « l’intranquillité » du moment. Chaque histoire est révélatrice d’un parcours vécu et d’une belle auto réflexion. Du coureur au quotidien, du pisteur, de l’amoureux des montagnes jusqu’à Lilith qui n’est peut être que le reflet de nos regards et de nos quêtes. J’ai « pris mon pied » avec ce recueil de nouvelles !! Bravo Alain ! Merci Alain et Gilles pour ce fabuleux travail ! J’encourage tous les lecteurs à être ambassadeur/drice, personnellement je crois que je pourrai faire plaisir à beaucoup de lecteurs. »
Maian
La course de lumière:
» Ce second roman est une grande réussite, la lecture de cet ouvrage fut un réel plaisir et je le recommande a tous les fanatiques de romans. »
» Le premier était déjà une belle reussite, tres bien raconte et tres agreable a lire. le deuxieme est tout aussi passionnant, on a l’impression d’y etre ou du moins ca donne vraiment envie de la decouvrir. Bonne continuation, on attend le troisieme avec impatience… Je recommande vivement… »
» Super livre. Je n’avais plus lu depuis quelques années et ce roman m’a réconcilié avec la lecture. une histoire passionnante qui me donne envie de rêver a une participation utmb. Vivement la sortie du prochain bouquin en espérant que milla soit toujours présente:-) »
Pour les visiteurs de dernière minute, nous nous permettons de vous rappeler que nous serons bien présents IRL (In Real Life 😉 ce dimanche matin sur les bords de Garonne à La Réole pour le traditionnel Trail de Garonne.
Venez découvrir nos banderoles sur les tracés de 8 et 14km et venez surtout découvrir notre stand aux couleurs de Trailstore.fr avec son Jean-Pierre et ses équipements 😉 Nous pourrons échanger et partager nos expériences et les vôtres de manière à vous aiguiller au mieux pour la réussite de vos objectifs futurs…
Date du rendez-vous: dimanche 05 octobre 2014
Lieu de la course: MIJEMA à La Réole
Départs: 09h30, les deux courses et 09h50 pour la rando
David (du plat pays), nous livre le CR de son tout premier ultra montagnard… A lire, à vivre et à courir sans modération…
« Je débarque à Vielle Aure le jeudi 21 août chez mon ami Jérôme. Je vais participer à mon premier ‘ultra’ de 80 km. Un défi lancé par mon ami et bêtement relevé… Ce n’est pas le premier mais là, c’est l’inconnu pour moi l’amateur de courses sur routes plates et régulières. J’aime l’endurance ; 80 km ne me font pas peur mais les 5000m D+ me stressent un peu. Monter n’est pas un souci mais je descends comme un enfant de 3 ans qui se retrouve pour la première fois face à un escalier à descendre…
Comme avant chaque veille de compétition, je ne trouve pas le sommeil… je m’imagine mille et un scénarios différents pour la course… Je me lève et je suis très content d’être avec Jérôme. Fred m’a préparé mon Gato sport que j’achète par superstition car je n’en mange presque pas. Une tasse de café et direction le départ situé à 750 m du chalet.
Sur la place du village, j’ai l’impression de ne pas être à ma place. Mes dernières paroles avant le start : « bon sang, qu’est ce que je fous ici ? »… puis le départ est donné ; c’en est fini de s’interroger… La musique de ColdPlay ( sky full of stars) retentit ; j’ai des frissons… Let’s run… 12 semaines de préparation à Namur sont derrière moi… j’ai un moral d’enfer malgré la bruine !
La montée vers le Col de Portet se passe bien. Jérôme est déjà bien loin. J’écoute les conseils des anciens : « cale toi sur un trailer qui a la même allure que toi et essaie de rester avec… ». Je gère bien cette première ascension. Je bois régulièrement de l’eau et une boisson sucrée. Au sommet, un spectacle magnifique … nous sommes au dessus des nuages et le soleil se lève. Majestueux.
Pas le temps de lézarder, je fonce vers le ravito n°1. J’avale 2 verres de Coca et un morceau de fromage et je repars très vite. Très grosse erreur.
Je me dirige alors vers le Col de Bastanet : parcours caillouteux où je râle comme un cochon… impossible de courir sur ce chemin escarpé vu le monde et très accidenté… Mon allure est toujours régulière et le moral au zénith.
La descente vers Artigues est un véritable enfer. Je descends comme un escargot et ma faible vitesse gêne les autres trailers. Certains me dépassent en prévenant gentiment ; d’autres n’hésitent pas à me bousculer. Résultat : une culbute magnifique, un plongeon digne des plongeurs d’Acapulco… mes mains pleines d’épines. Je râle sec. Vivement que cela monte !!
Yes. Artigues est là. Les supporters sont là : mon fiston Maxim, la maman et la copine de Jey, Fred. Cela fait du bien. Max me remplit mon bidon et je repars aussitôt. Je reproduis la même erreur qu’au premier ravito (malgré les conseils des supporters). Malheureusement, je ne m’en rends pas encore compte… Mon moral est bon. Les muscles sont en bon état. Quelques frottements aux pieds mais rien d’alarmant.
Déjà 30 km. La grosse pièce se présente : là, tout en haut…le Pic du Midi. Ma montée vers Col de Sencours est régulière ; je dépasse assez bien de monde. C’est un type d’effort que j’aime bien. Les distances entre trailers s’allongent . Je me retrouve seul et je me sens très bien. Le soleil brille. Il fait chaud. C’est bon, ça !!! Je suis heureux d’arriver au Col de Sencours car j’ai soif !!! Je ne peux plus avaler un atome du liquide sucré de ma poche. Ce goût me fait vomir. Je bois beaucoup d’eau… signe précurseur d’une défaillance. Le ravito est planté au bord d’un lac. Waouw. On croise des lamas. Allez, le Pic est là , tout près. Come on. Je repars aussi sec.
Nous croisons les plus rapides qui redescendent du Pic. Je croise Jérôme qui redescend. Il va bien ; je suis content. Un encouragement très furtif mais qui fait du bien … Malgré la proximité du Pic, cela me semble interminable… chemins étroits en lacets… un soleil de plomb… je ressens les effets de l’altitude… Au Pic, c’est une vue splendide. On distingue les sommets qui émergent des nuages… Par contre, les frottements sous me pieds se sont transformés en ‘ampoules’. Et il reste 40 km…
Après le contrôle, c’est la grande descente vers Tournaboup. Dix kilomètres de descente et je connais déjà le scénario… je vais me faire avaler par les plus aguérris et mes quadriceps vont déguster… Certains passages sont raides. Je bénis celui qui a inventé les bâtons. Je progresse toujours à mon propre rythme. Les premiers signes de crampes arrivent rapidement. Plus qu’une idée : rejoindre Tournaboup et les supporters.
Tournaboup est là et je profite des supporters. J’explique que mes jambes sont mortes et qu’arriver est mon seul objectif. Fred m’explique que je suis complètement déshydraté. Elle me conseille de remplir ma poche à eau d’eau pétillante salée et de boire un max. Je bois une bouteille d’1,5l d’une traite. J’emporte du saucisson et du fromage.
Je m’en veux de cette erreur de débutant. J’ai négligé les ravitaillements précédents et je le paie. Pour moi, le temps passé au ravito est du temps perdu. Grosse claque. Je m’en veux. Soit. Le mal est fait ; il faut faire avec…
Je repars comme un automate. Je suis un autre participant ; on discute . Je place mes pieds exactement où il place les siens. Je ne regarde que ses chaussures et ses chaussettes. Comme dit Benoît Poelvoorde (namurois) dans « Les Randonneurs » : un pas c’est un pas. Je ne réfléchis plus. Ma tête est ailleurs. Je pense à tous ces moments passés à m’entraîner à la citadelle de Namur. Je pense à Jérôme qui doit être sous la douche… Y aura-t-il autre ultra pour moi ? J’en doute…
J’ai bien bu jusqu’à la cabane D’Aygues Cluses ; je me sens un peu mieux. Je suis toujours avec mon ouvreur. Je prie pour qu’il ne craque pas. Nous avons la même allure… Le Col de Hourquette est franchi. Et nous sommes toujours ensemble au ravitaillement du Col de Portet. La nuit commence à tomber… Il reste 13 kilomètres. Je sais que c’est gagné. Je me ravitaille et je m’aperçois que mon coéquipier ne semble pas vouloir repartir aussi vite que moi. Je quitte seul…
La dernière descente vers Vielle Aure est un long chemin de croix. Il fait noir. Nous traversons une sapinière en dévers. Je m’étale à plusieurs reprises… Vivement la fin. Je marche comme un cow-boy. J’arrive au niveau des premières maisons. Malgré l’heure tardive, ces habitants nous attendent et nous encouragent… L’arrivée est donc proche. C’est grisant. J’ai la chair de poule.
Le dernier kilo me fait oublier les ampoules et les crampes… Yes, I did it.
A 25 m de l’arrivée, j’aperçois mon fiston et nous franchissons ensemble la ligne d’arrivée… Il est 22h11. J’aurai mis 17h07 pour mon premier trail. Moment inoubliable.
J’ai plein de souvenirs plein la tête que je ne pourrai jamais oublier : le parcours dans des paysages magnifiques , la gentillesse des bénévoles, une organisation parfaite & une ambiance festive. Mention spéciale aux supporters Maxim et la Jérôme family…
Aujourd’hui, quand j’entends la chanson de Coldplay, les frissons reviennent..
Et les questions reviennent également : « Et si je m’étais ravitaillé correctement, …. Et si je passais 1 semaine d’entrainement à la montage,…. ». Oui, il faut que j’y retourne
David, client Trailstore a testé pour vous la flash NDURE:
Son commentaire:
» Vraiment très bien. Je n’ai plus ce bruit d’eau qui , à la longue, fatigue. Sa matière est très agréable. Elle se tient bien dans la main ou dans une poche… Seul bémol : il faut un temps d’adaptation pour s’habituer à la pipette… »
Et vous, chers gagnants de notre jeu concours Twitter, qu’en pensez-vous?
Nous profitons d’ailleurs de ce post flask pour vous dire que les flasks Waa 500ml sont rentrées et disponibles. Les NDURE ne devaient pas tarder à nous revenir…
Le Tor Des Géants… L’épreuve la plus dingue de tout le circuit Trail européen. Des chiffres toujours plus géants, 330kils, 24.000mD+, plus de 71h de course pour le premier… Une escalade très controversée dans le milieu vers le toujours plus pour certains, le moyen de davantage repousser ses limites pour d’autres. Même si je fais partie de la première catégorie, force est de constater et d’avouer que terminer cette épreuve premier ou dernier relève de l’exploit et qualifie chacun d’entre eux de GEANT…
Mais ce qui me frappe cette année, c’est l’évolution qu’a pris la marque HOKA. Je me rappelle des gars que je croisais avec les premiers modèles aux pieds. Les semelles se « défonçaient » vers l’intérieur et la mousse s’usait à vitesse v-v’. J’avais même énormément de douleurs pour les articulations et les corps de ces coureurs. Même si bien entendu, certains étaient plus rapides que moi…
Depuis, la marque aux semelles compensées a bien bossé et propose depuis des modèles beaucoup plus fiables et performants. La preuve en est avec tous ces coureurs très connus, connus et moins reconnus qui se sont liés à eux. Simple démarche marketing et commercial ou réel intérêt sportif??? Ca on ne le saura jamais mais force est de constater que sur cette épreuve au long cours, HOKA a placé deux de ses coureurs dans les 4 premières places, Antoine Guillon et Christophe Le Saux. Rajoutons Lionel Trivel encore 5 ème après 70h de course et on obtient des stats intéressantes, interpellantes.
De plus, Julien Chorrier sur le GR20, malgré une tentative de record avortée à cause d’une chute nocturne et vous obtenez un sujet-débat intéressant.
Les Hoka, les chaussures au long cours ? Ou bien également pour coureur rapide sur des courtes distances ? Partagez votre avis de coureur « anonyme » comme moi…